Hiver, vous n’êtes qu’un vilain,
Été est plaisant et gentil,
En témoin de Mai et d’Avril
Qui l’accompagnent soir et matin.
Été revêt champs, bois et fleurs,
De sa livrée de verdure
Et de maintes autres couleurs
Par l’ordonnance de Nature.
.
Mais vous, Hiver, trop êtes plein
De neige, vent, pluie et grésil ;
On vous doit bannir en exil.
Sans point flatter, je parle plain :
Hiver, vous n’êtes qu’un vilain.
J’aime la langue de ton trouvère qui poétise si bien la vilénie de Monsieur Hiver car Brrrr,,, s’il offre quand-même
de jolis paysages surtout quand ils sont inondés de soleil, il n’en reste pas moins que pour les goûter, il nous faut être surprotégés contre ses moindres souffles glacés !
Merci ma chère poétesse que tes choix d’images soulignent à merveille tes mots magiciens !!!
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